Tenant du titre, Manchester United a conservé son bien en dominant Aston Villa (2-1), ce dimanche, en finale de la Coupe de la Ligue, grâce à un nouveau but salvateur de l'inévitable Wayne Rooney. La terreur avait pourtant été laissée sur le banc au coup d'envoi...
« Son sens du jugement dans la surface de réparation s'est amélioré, et c'est un beau signe. » Si les éloges d'Alex Ferguson sont une denrée rare, le manager des Red Devils avait de nouveau visé juste : Wayne Rooney a véritablement pris une nouvelle dimension depuis le début de la saison. La thèse d'une certaine « Rooney dépendance » du côté de Manchester United a encore pris de l'ampleur ce dimanche, sur le billard de Wembley, alors que les champions d'Angleterre s'avançaient doucement vers une prolongation lors de cette finale de Coupe de la Ligue. Sur le banc au coup d'envoi, Rooney, déjà auteur de 11 réalisations sur les huit dernières rencontres, a ainsi profité de la blessure de Michael Owen peu avant la pause (cuisse) pour venir offrir le premier trophée de la saison aux siens.
L'histoire s'en souviendra
Rapidement menés au score sur un penalty de Milner (5e s.p.), les Mancuniens, visiblement décidés à ne pas encore se laisser marcher sur les pieds par sa bête noire d'Aston Villa, recollaient immédiatement par l'intermédiaire d'Owen (13e) après un bon travail de Berbatov sur l'aile droite. Tenu deux fois en échec par les Villans cette saison, MU montait en puissance et se montrait de plus en plus pressant dans la surface adverse. Si Park (45e + 3) trouvait le poteau sur une frappe sèche du droit, Rooney (74e) crucifiait littéralement la défense d'Aston Villa en reprenant d'une merveille de tête lobée un centre de Valencia. Une réalisation qui permet ainsi à United de soulever la League Cup pour la quatrième fois de son histoire (1992, 2006, 2009, 2010). Et Wayne Rooney de rentrer encore un peu plus dans la légende...
« Son sens du jugement dans la surface de réparation s'est amélioré, et c'est un beau signe. » Si les éloges d'Alex Ferguson sont une denrée rare, le manager des Red Devils avait de nouveau visé juste : Wayne Rooney a véritablement pris une nouvelle dimension depuis le début de la saison. La thèse d'une certaine « Rooney dépendance » du côté de Manchester United a encore pris de l'ampleur ce dimanche, sur le billard de Wembley, alors que les champions d'Angleterre s'avançaient doucement vers une prolongation lors de cette finale de Coupe de la Ligue. Sur le banc au coup d'envoi, Rooney, déjà auteur de 11 réalisations sur les huit dernières rencontres, a ainsi profité de la blessure de Michael Owen peu avant la pause (cuisse) pour venir offrir le premier trophée de la saison aux siens.
L'histoire s'en souviendra
Rapidement menés au score sur un penalty de Milner (5e s.p.), les Mancuniens, visiblement décidés à ne pas encore se laisser marcher sur les pieds par sa bête noire d'Aston Villa, recollaient immédiatement par l'intermédiaire d'Owen (13e) après un bon travail de Berbatov sur l'aile droite. Tenu deux fois en échec par les Villans cette saison, MU montait en puissance et se montrait de plus en plus pressant dans la surface adverse. Si Park (45e + 3) trouvait le poteau sur une frappe sèche du droit, Rooney (74e) crucifiait littéralement la défense d'Aston Villa en reprenant d'une merveille de tête lobée un centre de Valencia. Une réalisation qui permet ainsi à United de soulever la League Cup pour la quatrième fois de son histoire (1992, 2006, 2009, 2010). Et Wayne Rooney de rentrer encore un peu plus dans la légende...