En battant Nuremberg (2-0) pendant que le Bayer Leverkusen était battu à Cologne (0-2), le Borussia Dortmund a officialisé son septième titre de champion d'Allemagne. Pour le plus grand bonheur d'un Signal Iduna Park en fusion. (Photo Reuters)
Au début de l'hiver, l'issue de la saison 2010-2011 de Bundesliga ne faisait déjà aucun doute. Mais le Borussia Dortmund a finalement attendu la 32e journée pour être officiellement sacré champion d'Allemagne pour la septième fois de son histoire. la victoire des Marsupiaux face à Nuremberg, additionnée à la défaite de Leverkusen à Cologne (0-2) a embrasé le Signal Iduna Park, qui attendait ce moment depuis 2002. Il y a neuf ans, la génération Lehmann-Wörns-Rosicky-Amoroso remportait au finish le ''Meisterschale'' pour un point devant, déjà, le Bayer Leverkusen. Cette saison, c'est à un cavalier seul que l'on a assisté, tant la supériorité de Dortmund s'est étalée du mois d'août au mois d'avril, malgré une petite baisse de régime à la sortie de l'hiver.
Klopp heureux comme un gamin
En ce samedi après-midi ensoleillé, le BVB a fait la différence en première période. Lucas Barrios (32e) et Robert Lewandowski (43e) ont douché les (maigres) ambitions du FC Nuremberg. Dans un stade en fusion, l'ambiance est encore montée d'un cran, puis de deux, lorsque Milivoje Novakovic a offert la victoire à Cologne face au Bayer grâce à un doublé (67e, 82e). Vif, technique, jeune et ambitieux, ce Borussia Dortmund cru 2011 mérite bien ce septième titre. La joie de son entraîneur Jürgen Klopp, heureux comme un gamin, a fait plaisir à voir au coup de sifflet final. Cet été, la tâche sera ardue pour le club de la Ruhr. Il sera en effet difficile de conserver toutes ces graines de stars à l'intersaison. Mais avant, place à la fête. La bière va couler à flot, et ce n'est rien de le dire
Source : francefootball.fr
Au début de l'hiver, l'issue de la saison 2010-2011 de Bundesliga ne faisait déjà aucun doute. Mais le Borussia Dortmund a finalement attendu la 32e journée pour être officiellement sacré champion d'Allemagne pour la septième fois de son histoire. la victoire des Marsupiaux face à Nuremberg, additionnée à la défaite de Leverkusen à Cologne (0-2) a embrasé le Signal Iduna Park, qui attendait ce moment depuis 2002. Il y a neuf ans, la génération Lehmann-Wörns-Rosicky-Amoroso remportait au finish le ''Meisterschale'' pour un point devant, déjà, le Bayer Leverkusen. Cette saison, c'est à un cavalier seul que l'on a assisté, tant la supériorité de Dortmund s'est étalée du mois d'août au mois d'avril, malgré une petite baisse de régime à la sortie de l'hiver.
Klopp heureux comme un gamin
En ce samedi après-midi ensoleillé, le BVB a fait la différence en première période. Lucas Barrios (32e) et Robert Lewandowski (43e) ont douché les (maigres) ambitions du FC Nuremberg. Dans un stade en fusion, l'ambiance est encore montée d'un cran, puis de deux, lorsque Milivoje Novakovic a offert la victoire à Cologne face au Bayer grâce à un doublé (67e, 82e). Vif, technique, jeune et ambitieux, ce Borussia Dortmund cru 2011 mérite bien ce septième titre. La joie de son entraîneur Jürgen Klopp, heureux comme un gamin, a fait plaisir à voir au coup de sifflet final. Cet été, la tâche sera ardue pour le club de la Ruhr. Il sera en effet difficile de conserver toutes ces graines de stars à l'intersaison. Mais avant, place à la fête. La bière va couler à flot, et ce n'est rien de le dire
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