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Roberto Baggio, plait encore, plait toujours. "Le football sans Baggio est comme le ciel sans soleil». Baggio a été de football et de poésie. L'imagination et l'orgueil. Le dribble et la douleur. La colère et la beauté. Fiorentina, Juventus, Milan, Bologne, Inter et Brescia. Et une queue de cheval et une boucle d'oreille, le bleu plus intense. Puis ce fut bien d'autres choses. Pourquoi est-il devenu une légende du football? Voici dix raisons :
1. Parce qu'il est bon, gentil et respectueux envers tous
2. Parce qu'il a un côté enfantin et blagueur
3. Parce que, comme un enfant à Caldogno il jouait au football sur la route. Comme Brésilien, agile et élégant. Et c'est là qu'il a appris à jouer avec son corps tout entier.
4. Parce qu'on le revoit en Messi. Quand il a la balle on a toujours l'impression que quelque chose va se produire et qu'il est difficile, quasi-impossible de la lui prendre
5. Parce qu'il a toujours été quelqu'un de sensible et vulnérable mais a réussit à se défendre de tous et beaucoup. Et il a vite appris à jouer avec la vie.
6. Parce qu'il a été battu et détruit et ses jambes étaient deux cartes, pleines de traces de coups et de cicatrices. Et quand ils ont dit "Run, Rabbit!", Répondit-il sans élever la voix: «Celui qui est entré puis ressorti de l'hôpital n'aura pas le courage d'un lion, mais celui d'un homme".
7. Parce que c'est toujours lui qui a payé. Quand il y avait une faute de commise c'était la sienne. Il n'a pas cherché la confrontation avec les entraîneurs. Sans doute parce qu'il était très populaire. La notoriété peut parfois être ennuyeuse.
8. Parce que c'est un éternel gamin de province qui croit en l'amitié, la sincérité, la vraie vie. Il est nà à Vicenza mais est devenu citoyen du monde, il est parti à sa conquête mais est toujours revenu. Vicenza (Caldogno, Altavilla), c'est moi, ma famille, mon avenir. Il a dit: Je ne vais pas jouer ailleurs parce que j'ai besoin de vivre ici.
9. Parce qu'il a séduit même les écrivains et poètes, chanteurs et grands du théâtre. Un jour, Vittorio Gassman, l'Homme aux cent visages, a déclaré: «Cher Baggio, avec la sincérité d'un ancien, je dois l'avouer, je n'ai jamais été fan de l'une des équipes dans lesquelles vous avez a joué. Mais j'ai toujours été votre tifoso. Il y a en vous quelque chose de différent. Je trouve un homme modeste, agréablement humble. "
10. Parce qu'il portait le numéro de la fantaisie. Le numéro 10. Comme Sivori et Platini, Zico et Maradona. Le 10, comme Edson Arantes do Nascimiento dit Pelé.
1. Parce qu'il est bon, gentil et respectueux envers tous
2. Parce qu'il a un côté enfantin et blagueur
3. Parce que, comme un enfant à Caldogno il jouait au football sur la route. Comme Brésilien, agile et élégant. Et c'est là qu'il a appris à jouer avec son corps tout entier.
4. Parce qu'on le revoit en Messi. Quand il a la balle on a toujours l'impression que quelque chose va se produire et qu'il est difficile, quasi-impossible de la lui prendre
5. Parce qu'il a toujours été quelqu'un de sensible et vulnérable mais a réussit à se défendre de tous et beaucoup. Et il a vite appris à jouer avec la vie.
6. Parce qu'il a été battu et détruit et ses jambes étaient deux cartes, pleines de traces de coups et de cicatrices. Et quand ils ont dit "Run, Rabbit!", Répondit-il sans élever la voix: «Celui qui est entré puis ressorti de l'hôpital n'aura pas le courage d'un lion, mais celui d'un homme".
7. Parce que c'est toujours lui qui a payé. Quand il y avait une faute de commise c'était la sienne. Il n'a pas cherché la confrontation avec les entraîneurs. Sans doute parce qu'il était très populaire. La notoriété peut parfois être ennuyeuse.
8. Parce que c'est un éternel gamin de province qui croit en l'amitié, la sincérité, la vraie vie. Il est nà à Vicenza mais est devenu citoyen du monde, il est parti à sa conquête mais est toujours revenu. Vicenza (Caldogno, Altavilla), c'est moi, ma famille, mon avenir. Il a dit: Je ne vais pas jouer ailleurs parce que j'ai besoin de vivre ici.
9. Parce qu'il a séduit même les écrivains et poètes, chanteurs et grands du théâtre. Un jour, Vittorio Gassman, l'Homme aux cent visages, a déclaré: «Cher Baggio, avec la sincérité d'un ancien, je dois l'avouer, je n'ai jamais été fan de l'une des équipes dans lesquelles vous avez a joué. Mais j'ai toujours été votre tifoso. Il y a en vous quelque chose de différent. Je trouve un homme modeste, agréablement humble. "
10. Parce qu'il portait le numéro de la fantaisie. Le numéro 10. Comme Sivori et Platini, Zico et Maradona. Le 10, comme Edson Arantes do Nascimiento dit Pelé.
