Cinq ans et demi après son départ forcé du PSG, Laurent Fournier (46 ans) va de nouveau entraîner en Ligue 1. L'ancien coach de Strasbourg remplace Jean Fernandez à Auxerre et a été préféré à Paul Le Guen.
En janvier dernier, le président de Strasbourg Jafar Hilali avait expliqué à Laurent Fournier qu'il « n'était pas l'homme de la situation pour faire monter le club en Ligue 2 ». Il faut croire que le coach du Racing s'est bien amélioré lors des six derniers mois puisque c'est lui qui sera sur le banc de l'AJ Auxerre la saison prochaine. Il sera assité d'Alain Fiard et Bernard David. Ainsi en a décidé le nouveau président Gérard Bourgoin après l'annonce officielle du départ de Jean Fernandez jeudi dernier. Même s'il n'est pas parvenu à faire monter le Racing en Ligue 2 (le club a terminé quatrième derrière Guingamp), Laurent Fournier a finalement été préféré à Paul le Guen (l'autre grand favori pour prendre place sur le banc bourguignon) et à Daniel Sanchez (qui a préféré s'engager avec Valenciennes).
A 46 ans, l'ancien milieu défensif international (3 sélections), également courtisé par Nancy et Valenciennes, fait donc son retour dans l'élite, cinq ans et demi après avoir été contraint de quitter le PSG (remplacé par Guy Lacombe alors que le club était troisième). Fournier avait ensuite rebondi dans trois équipes de National : Nîmes (2007), Créteil (2009-10) et donc Strasbourg, où il lui restait une année de contrat. Selon L'Alsace, l'ancien joueur de l'OL, de l'OM et du PSG a envoyé sa démission aux dirigeants strasbourgeois ce mercredi matin, arguant notamment de la perte du statut professionnel du RCS. C'est donc la fin d'une saison mouvementée pour « Lolo », qui avait été limogé en janvier par le président Jafar Hilali avant d'être réintégré après une victoire en Coupe de France sur Evian TGFC.
Réputé pour son jeu porté vers l'avant, Laurent Fournier va donc tenter d'apporter un souffle nouveau à l'AJA, qui a décroché son maintien à l'ultime journée, quelques mois après avoir disputé la Ligue des Champions. Il faudra notamment trouver un remplaçant aux indispensables Benoît Pedretti et Ireneusz Jelen. Après le feuilleton « président » et le feuilleton « entraîneur », c'est donc un nouveau chapitre de l'intersaison mouvementée del'AJA qui s'ouvre.
Source : football365.fr
En janvier dernier, le président de Strasbourg Jafar Hilali avait expliqué à Laurent Fournier qu'il « n'était pas l'homme de la situation pour faire monter le club en Ligue 2 ». Il faut croire que le coach du Racing s'est bien amélioré lors des six derniers mois puisque c'est lui qui sera sur le banc de l'AJ Auxerre la saison prochaine. Il sera assité d'Alain Fiard et Bernard David. Ainsi en a décidé le nouveau président Gérard Bourgoin après l'annonce officielle du départ de Jean Fernandez jeudi dernier. Même s'il n'est pas parvenu à faire monter le Racing en Ligue 2 (le club a terminé quatrième derrière Guingamp), Laurent Fournier a finalement été préféré à Paul le Guen (l'autre grand favori pour prendre place sur le banc bourguignon) et à Daniel Sanchez (qui a préféré s'engager avec Valenciennes).
A 46 ans, l'ancien milieu défensif international (3 sélections), également courtisé par Nancy et Valenciennes, fait donc son retour dans l'élite, cinq ans et demi après avoir été contraint de quitter le PSG (remplacé par Guy Lacombe alors que le club était troisième). Fournier avait ensuite rebondi dans trois équipes de National : Nîmes (2007), Créteil (2009-10) et donc Strasbourg, où il lui restait une année de contrat. Selon L'Alsace, l'ancien joueur de l'OL, de l'OM et du PSG a envoyé sa démission aux dirigeants strasbourgeois ce mercredi matin, arguant notamment de la perte du statut professionnel du RCS. C'est donc la fin d'une saison mouvementée pour « Lolo », qui avait été limogé en janvier par le président Jafar Hilali avant d'être réintégré après une victoire en Coupe de France sur Evian TGFC.
Réputé pour son jeu porté vers l'avant, Laurent Fournier va donc tenter d'apporter un souffle nouveau à l'AJA, qui a décroché son maintien à l'ultime journée, quelques mois après avoir disputé la Ligue des Champions. Il faudra notamment trouver un remplaçant aux indispensables Benoît Pedretti et Ireneusz Jelen. Après le feuilleton « président » et le feuilleton « entraîneur », c'est donc un nouveau chapitre de l'intersaison mouvementée del'AJA qui s'ouvre.
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