Le Norvégien de Molde est arrivé hier après-midi pour un essai de trois jours dont la traditionnelle visite médicale. Et si tout se passe bien, il signera au TFC.
Le TFC espère récolter en janvier le fruit d'un long travail de fourmi, après avoir fouiné à droite et à gauche ces derniers mois pour trouver les oiseaux rares. Le TFC, qui s'était mis d'accord avec le club norvégien de Molde pour la venue de Rune Ertsas, a accueilli l'international espoirs hier après-midi. Max Marty est allé le chercher à la gare et le Norvégien a eu un premier contact avec ses nouveaux coéquipiers.
Barré en équipe première, cet attaquant (1,81 m pour 73 kg) est venu en France pour gagner du temps de jeu. « Sa principale caractéristique est la vitesse, note Max Marty. Quelqu'un de véloce, de remuant, du style de Gherieni avec davantage de puissance. »
Pendant que l'attaquant tunisien poursuit sa convalescence, le TFC espère avoir trouvé son remplaçant, apportant ce qui fait le plus défaut à l'équipe de Daniel Sanchez actuellement : rapidité et percussion.
« Je ne le connais pas, je l'ai vu sur une cassette, explique le coach tourangeau. Donc, on va le découvrir pendant trois jours à l'entraînement pour se faire une idée de son potentiel et savoir ce qu'il peut nous apporter. Sachant que, pour l'instant, rien n'a été signé. »
Le TFC aimerait avancer sur ce dossier d'autant que l'attaque est le sujet n° 1 du moment. En attendant l'arrivée de l'autre attaquant brésilien, voire d'un troisième avant-centre au cas où Olivier Giroud partirait.
« Il est clair que, compte tenu de nos moyens, nous faisons des paris, poursuit Daniel Sanchez. En espérant tirer des gros lots. »
Le TFC n'a pas abandonné l'idée d'enrôler aussi un milieu de terrain, plus certainement en fin de mercato.
Oui, le TFC a plusieurs fers au feu et ne veut surtout pas se brûler.
Silence radio
Sur les conseils de ses agents, Olivier Giroud s’est confiné dans un silence bouddhiste. Il ne parlera plus de son éventuel transfert. Pendant ce temps, Max Marty multiplie les échanges avec les agents de Giroud. Pour l’instant, il n’y a pas crispation, juste dialogue et avis divergents.
Jean-Éric Zabrodsky (NR)
Le TFC espère récolter en janvier le fruit d'un long travail de fourmi, après avoir fouiné à droite et à gauche ces derniers mois pour trouver les oiseaux rares. Le TFC, qui s'était mis d'accord avec le club norvégien de Molde pour la venue de Rune Ertsas, a accueilli l'international espoirs hier après-midi. Max Marty est allé le chercher à la gare et le Norvégien a eu un premier contact avec ses nouveaux coéquipiers.
Barré en équipe première, cet attaquant (1,81 m pour 73 kg) est venu en France pour gagner du temps de jeu. « Sa principale caractéristique est la vitesse, note Max Marty. Quelqu'un de véloce, de remuant, du style de Gherieni avec davantage de puissance. »
Pendant que l'attaquant tunisien poursuit sa convalescence, le TFC espère avoir trouvé son remplaçant, apportant ce qui fait le plus défaut à l'équipe de Daniel Sanchez actuellement : rapidité et percussion.
« Je ne le connais pas, je l'ai vu sur une cassette, explique le coach tourangeau. Donc, on va le découvrir pendant trois jours à l'entraînement pour se faire une idée de son potentiel et savoir ce qu'il peut nous apporter. Sachant que, pour l'instant, rien n'a été signé. »
Le TFC aimerait avancer sur ce dossier d'autant que l'attaque est le sujet n° 1 du moment. En attendant l'arrivée de l'autre attaquant brésilien, voire d'un troisième avant-centre au cas où Olivier Giroud partirait.
« Il est clair que, compte tenu de nos moyens, nous faisons des paris, poursuit Daniel Sanchez. En espérant tirer des gros lots. »
Le TFC n'a pas abandonné l'idée d'enrôler aussi un milieu de terrain, plus certainement en fin de mercato.
Oui, le TFC a plusieurs fers au feu et ne veut surtout pas se brûler.
Silence radio
Sur les conseils de ses agents, Olivier Giroud s’est confiné dans un silence bouddhiste. Il ne parlera plus de son éventuel transfert. Pendant ce temps, Max Marty multiplie les échanges avec les agents de Giroud. Pour l’instant, il n’y a pas crispation, juste dialogue et avis divergents.
Jean-Éric Zabrodsky (NR)